SYSTEMES RECTILIGNES, AXES COURBES ET COURBES HELICOIDALES

'Poursuite d'expériences similaires utilisant trois systèmes linéaires tels que x,y,z, suivis d'axes courbes pas nécessairement circulaires et de courbes hélicoïdales.'

 

 

 

 

Fig.40. Superposition de trois systèmes divergents naissants à l'extérieur de la surface de l'image
Les systèmes linéaires sont représentés entrain de déformer l'espace - le faisant osciller vers la gauche puis résolument vers la droite - une autre version de l'illusion optique du cube double qui oscille décisivement en relief et en creux.

 

 

 

 

Fig.41. Deux systèmes divergents superposés à des horizontales parallèles
Cela semble créer un motif plat de triangles mais en regardant en haut vers la droite et en bas à partir de la gauche, une oscillation apparaît.
Cette image semble créer un motif plutôt qu'une illusion d'espace alors que les suivantes créent plus d'espace, étant courbées et s'emboîtant ainsi dans les géométries variées de l'espace courbe Riemannian. Celles-ci sont-elles capables de créer physiquement l'impression de quatre dimensions ou bien l'oeil oscille-t-il entre trois dimensions aperçues et trois dimensions différenciées d'une autre manière dans un mouvement continuellement labile?

L'exposé continue avec l'extension aux axes courbes, les axes étant répétés pour fabriquer des champs.

 

 

 

 

Fig.42. Deux systèmes divergents superposés à des courbes concaves
Cela change extraordinairement selon ou et comment on regarde, la partie courbe tordant, avec l'une puis l'autre section divergentes, la section opposée planant au-dessus.

 

 

 

 

Fig.43. Courbes concaves superposées à des courbes concaves de direction opposée, superposées à des courbes convexes
Ceci oscille à l'intérieur ou à l'extérieur du coin gauche inférieur et du coin droit supérieur, mais la partie centrale reste verrouillée comme un motif chevauchant.

 

 

 

 

Fig.44. Formes curvilignes en diagonale superposées à des courbes concaves, superposées à des courbes concaves
La superposition de deux concavités agit comme un champ. La forme curviligne en diagonale, suggérant une direction de mouvement, oscille avec ces champs, provoquant le vertige. Ceci crée un espace ondulant.

 

 

 

 

Fig.45. Axe hélicoïdal asymétrique superposé à des courbes concaves, superposées à des courbes concaves
Les courbes doivent passer à travers l'axe hélicoïdal en devenant un champ. Ceci se lit comme un champ spatial profond sauf dans le chevauchement lorsque les lignes aboutissent dans la rigidité.

 

 

 

fig 46.gif (19052 octets)

 

Fig.46. Formes curvilignes en diagonale superposées à des courbes convexes, superposées à des courbes concaves
C'est la même chose que dans la figure 44, mais la direction d'une courbe a été transformée de concave en convexe. Ceci aussi provoque le vertige.

 

 

 

fig 47.gif (12386 octets)

 

Fig.47. Trois systèmes rectilignes convergents
Considérez comment ces trois points de fuite à l'intérieur du même dessin, se rencontrent et se modifient mutuellement. Si on oblitère les points de fuite proprement dits, il se produit tout autour une violent oscillation. (voir l'amplification de ceci dans les figures 65 et 66 - où les tracés ont été extraits des systèmes convergents. Peut-on modifier les formes de l'intuition? Superposer ce qui, à priori, semblent être des champs trop nombreux pour s'assurer si l'oeil peut apprendre à répondre à tous de manière ambiguë, pour voir s'ils créent de l'espace ou sont perçus comme des motifs plats, et si, pour un seul spectateur, cette perception change avec le temps.

 

 

 

 

Fig.48. Formes curvilignes en diagonale superposées à des courbes convexes, superposées à des courbes concaves, superposées à des courbes en arc de cercle. En dépit des quatre dimensions utilisées ici, on peut voir un espace déformé apparaître et disparaître de manière ambiguë.

 

 

 

 

Fig.49; Formes curvilignes en diagonale superposées à des courbes convexes, superposées à un axe convergent
Dans ce complexe courbe, l'introduction d'un système de coordonnés rectilignes empêche l'oscillation. A quel moment cette complexité de dimensions devient-elle plate, un entrecroisement de lignes en deux dimensions ne voulant rien dire de profond au point de vue spatial?

 

 

 

fig VII.gif (159938 octets)

 

.VII. GREEN WAVE, S.W. Hayter
1965, gravure, 592 x 500 mm, Collection de Julian Hayter, 'Hayter e l'Atelier 17', Carla Esposito, Electa, Milan 1990, p.125
Ceci clignote tantôt comme un motif, tantôt comme une suggestion d'un espace profond et agit aussi par interférence (voir chapitre 'Interférence Vibration et Moires').

L'exposé continue en révélant comment on peut en apparence déplacer des points (pris au sens physique, matière) avec des systèmes coordonnés.
'---/Le but consiste à utiliser ces champs comme des opérateurs: on peut prouver qu'il y a des transformations de l'espace quand on remplace un champ par un autre et que quelques points fixes dessinés sur des feuilles, vus par transparence sur ces systèmes, montrent un déplacement visible.'
Un nombre d'expériences de ce genre se présentent maintenant, avec l'apparent déplacement de trois points, sous l'action des champs superposés. Des complexités Riemannianes de l'espace, courbé par une faculté inhérente à la matière selon la théorie d'Einstein, sont importantes quand on explore des systèmes de trois lignes courbes voir même quatre. Observez si vos yeux, après un certain temps, peuvent réagir de façon ambiguë, aux systèmes de quatre lignes courbes.

 

 

 

fig 50.gif (25292 octets)

 

Fig.50. Trois points contre deux systèmes divergents
Les trois points planent dans l'espace, au-dessus de deux systèmes divergents.

 

 

 

fig 51.gif (26602 octets)

 

Fig.51. Les même trois points contre des formes curvilignes en diagonale superposées à des courbes
De droite à gauche, les trois points semblent être posés dans le creux , au-dessus et sur le point de chuter à nouveau dans le creux des courbes en diagonale.

 

 

 

fig 52.gif (24334 octets)

 

Fig.52. Les même trois points contre un axe hélicoïdale superposé à des courbes concaves et convexes.

 

 

 

 

fig 53.gif (28969 octets)

 

Fig.53. Les même trois points contre des formes curvilignes en diagonales superposées à des courbes concaves et convexes. Les trois points sont suspendus à l'intérieur.

 

Accueil
sommaire

Retour
retour